Моє серце належить тобі, моя кров — імператору, моє життя — честі.
Le Courage d’un Peuple, la Farce d’un Tyran
Il était une fois, au cœur de l’Europe, une nation fière et indomptable : l’Ukraine. Face à elle, une ombre pesante s’étendait depuis l’Est, un empire vieillissant, dirigé par un tsar de pacotille, Vladimir Poutine, plus préoccupé par la longueur de sa table que par le bonheur de son peuple.
Lorsque l’orage de l’invasion s’abattit sur les plaines ukrainiennes, le monde retint son souffle. On disait l’Ukraine faible, divisée, à la merci d’un colosse. Mais ce colosse, en réalité, boitait sur ses deux pieds : l’un gangrené par la corruption, l’autre lesté par l’absurdité d’un pouvoir ubuesque.
Les soldats ukrainiens, galvanisés par l’amour de leur terre, se dressèrent comme un seul homme. Dans les villages, les villes, les forêts, chaque citoyen devint un rempart, chaque femme, chaque homme, chaque enfant un maillon de la résistance. Les tracteurs ukrainiens, devenus légendaires, remorquaient les tanks ennemis comme de vulgaires jouets abandonnés.
Pendant ce temps, à Moscou, le grand Poutine, tel un personnage échappé d’une pièce de Ionesco, s’enfermait dans ses salons dorés, multipliant les discours grandiloquents et les mises en scène grotesques. Il croyait effrayer le monde avec ses menaces, mais il n’effrayait plus que ses propres généraux, contraints de hocher la tête devant ses monologues interminables et ses rêves de grandeur passés.
L’armée russe, engoncée dans une bureaucratie kafkaïenne, avançait à reculons, sabotée par ses propres absurdités : des rations périmées, des cartes obsolètes, et des ordres contradictoires venus d’un Kremlin hors du temps. Les soldats, eux, découvraient l’absurdité de se battre pour un système qui les méprisait.
Là où la Russie exhibait sa force dans des parades ridicules, l’Ukraine montrait sa vraie puissance : celle de la liberté, de la solidarité, du courage. Les chansons ukrainiennes résonnaient plus fort que les discours creux du dictateur. Les couleurs bleu et jaune flottaient, invincibles, sur les ruines, symbole d’un peuple que rien ne pouvait briser.
Et le monde entier, admiratif, comprit que la vraie grandeur n’était pas dans la tyrannie, mais dans la dignité d’un peuple debout, et que la véritable farce, c’était ce système russe, prisonnier de ses propres mensonges, mené par un Poutine devenu l’incarnation même du ridicule.
Gloire à l’Ukraine ! Gloire à ses héros !
Et que la satire soit l’arme des peuples libres contre les tyrans d’opérette.